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L’agritourisme

Posta Santa Croce est entourée de dix hectares de terrain, immergés dans un paysage suggestif, où on peut se promener au contact avec la nature et goûter les fruits de la terre en les recueillant directement des arbres.

Cerises, fioroni, poires, prunes, raisins, figues de Barbarie, mûres blanches et rouges, grenades et amandes sont à votre disposition et si vous voulez vraiment découvrir la campagne, vous pouvez participer à la récolte des olives ou des cerises.

Vous resterez séduits par la lumière et les couleurs de notre terre, de l’intensité des goûts et des parfums offert à chaque saison. Vous retrouverez le goût ancien des choses simples.

Cesare Brandi, dans son « Pellegrino di Puglia », écrit:

«Aucune campagne n’est ainsi plus joyeuse que celle-ci, comme une ronde d’enfants, l’illustration bienveillante d’un conte de fées, la planète d’un âge privilégié et innocent.

Mais elle est aussi comme un carillonnement silencieux qui fait retentir, dans son cœur le plus secret, souvenirs apaisés et soudains, de matins heureux, d’un âge perdu qu’on semble retrouver comme un vêtement au fond d’un tiroir ou une fleur dans un livre.

Notre enfance et celle de la terre, enfance baignée de lumière et d’air vif, comme une course, les poumons inspirant tout l’air, ainsi que le vert, le bleu, et le parfum des caroubes.

Tant de choses, et rien de moins, représente cette campagne».

«…il y avait des fantômes, bien présents et sans subterfuge, la journée et la nuit. Fantômes solides, éparpillés partout, inextirpable tellement ils étaient réunis.

Ce sont les pierres.

Les pierres que la terre des Pouilles a en soi comme les fantômes du passé, d’une histoire inconnue et préhistorique.

Le paysan accumule des grands tas: puis il choisit, il distribue, il compose la mosaïque des murs merveilleux, cimentés sans béton, les murs en pierres sèches; il édifie les trulli et les «pagliare».

Où que l’on aille, dans les Pouilles, l’on peut voir les pierres qui se rassemblent, se cherchent, se composent, comme si ces pierres étaient comme des aimants»